FAKEAR
Après des années passées à se questionner, dans une industrie musicale toujours plus demandeuse, aux codes pré-définis qui altèrent parfois le naturel d’une musique pensée comme ça, à l’envolée, Fakear revient à ses premières amours jusqu’à sa maison-mère, Nowadays, sans pour autant regarder le passé avec nostalgie ou dégoût ; plutôt en le contemplant avec bienveillance, une tape sur l’épaule : « je me suis trouvé », admet-il. Et quand on se trouve, c’est qu’on a arrêté de chercher.